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DES VINAIGRETTES SI SIMPLES À FAIRE QUE VOUS POURRIEZ NE PLUS JAMAIS EN ACHETER

Conseils, trucs et astuces : À l’occasion du Mois de la salade, nous partageons avec vous quelques astuces pour rehausser les saveurs de vos salades.

Il est bien plus facile de préparer des salades quand on achète les vinaigrettes du commerce, et on s’entend tous pour dire que cela nous incite à manger de la salade plus souvent. Mais si vous n’aviez plus à acheter de vinaigrettes ou même à préparer vos vinaigrettes vous-même? Que diriez-vous de vous débarrasser de vos cinq bouteilles de vinaigrette à moitié vides dans la porte de votre réfrigérateur et de manger plus de salades? Ça vous intéresse? Lisez la suite.

Parlons de préparation de vinaigrettes… ou pas

  • Un goût incomparable sans vinaigrette. Il n’est pas toujours nécessaire d’acheter de la vinaigrette ou d’en préparer une à part. Trois étapes faciles suffisent pour rendre vos salades savoureuses : 
    • Étape 1 : Versez un filet d’une huile de qualité sur vos salades (huile d’olive extra vierge, huile de tournesol, huile d’avocat ou, pour un goût plus recherché, de l’huile de noix de Grenoble grillées) et mélangez bien. Commencez par une petite quantité. Vous pourrez toujours en rajouter plus tard.
    • Étape 2 : Ajoutez du sel et du poivre, puis mélangez à nouveau. Nous avons constaté que le fait de mettre les assaisonnements après l’huile aidait à répartir uniformément le sel et le poivre sur les légumes. Cette découverte étonnante change grandement les choses.
    • Étape 3 : Ajoutez un bon vinaigre et mélangez. Choisissez un vinaigre de qualité qui s’harmonise avec vos ingrédients : balsamique rouge, blanc ou doré, vinaigre de xérès, vinaigre de champagne, vinaigre de cidre de pomme, vinaigre de vin rouge ou blanc. Ajoutez ensuite vos autres garnitures.Vos légumes-feuilles regorgent de saveur : vous voudrez peut-être simplement y ajouter quelques noix hachées ou fruits séchés (nous adorons les cerises séchées) et un peu de fromage salé émietté, comme du fromage feta, pour une salade simple mais incroyablement savoureuse.

       

 

  • Si vous voulez préparer une vinaigrette à part, faites-la dans un pot. Autrefois, lorsqu’on préparait une vinaigrette, on mesurait une part d’un élément acide pour deux parts d’huile, mais les choses ont changé. Aujourd’hui, on préfère des parts égales. Au lieu de fouetter les ingrédients dans un bol, il suffit de les mettre dans un pot et de secouer vigoureusement. Réfrigérer ensuite la vinaigrette non utilisée dans son pot.

Éléments de base de la vinaigrette 

  • Si vous voulez faire votre propre vinaigrette, commencez par mélanger l’huile et l’ingrédient acide en parts égales. Nous sommes bien au fait que les proportions recommandées étaient deux parts d’huile, voire trois, pour une part de vinaigre, mais les choses ont changé. Par ailleurs, une quantité de 125 ml de vinaigrette est amplement suffisante pour une salade de format familial. Commencez donc par 60 ml chacun d’huile et de vinaigre (ou autre ingrédient acide).
  • L’huile d’olive extra vierge (nous adorons l’arbequina fruitée), l’huile de noisette ou l’huile de noix de Grenoble sont des options savoureuses. Vous pouvez aussi utiliser des huiles plus neutres et légères, comme l’huile de pépins de raisin, d’avocat ou de tournesol, et laisser les autres ingrédients déterminer la saveur. Pour l’acide, n’importe quel vinaigre devrait convenir, mais n’utilisons pas de vinaigre blanc ordinaire. Notre préféré est le vinaigre balsamique doré, car il est à la fois plus léger que le vinaigre balsamique rouge et présente une certaine complexité, mais vous pouvez utiliser du vinaigre balsamique rouge, blanc ou doré, du vinaigre de xérès, du vinaigre de champagne, du vinaigre de cidre de pomme, du vinaigre de vin rouge ou blanc. Les jus de citron et de lime sont également d’excellents choix.
  • La moutarde est indispensable dans une vraie vinaigrette. Une bonne moutarde ajoute de la saveur et aide à garder la vinaigrette émulsionnée. Sans elle, votre huile et votre vinaigre se sépareront rapidement. La moutarde de Dijon est la meilleure. Utilisez environ 15 ml pour le ratio de 60 ml pour 60 ml.
  • « Juste un morceau de sucre », comme dit la chanson! L’ajout d’une cuillère à soupe (15 ml) à votre vinaigrette ne la rend pas trop sucrée et permet simplement de rehausser et de lier les saveurs. En fonction de vos autres ingrédients, le miel, le sirop d’érable, le sirop d’agave ou le sucre cristallisé peuvent convenir.
  • Ne négligez pas les assaisonnements. Le sel est un autre rehausseur de goût. Une généreuse pincée devrait faire l’affaire. N’oubliez pas d’ajouter du poivre moulu et d’autres épices et assaisonnements qui s’harmonisent avec votre salade.

Prêt à passer au niveau Maître de la salade? Voyez d’autres inspirations en matière de vinaigrettes.

DES INGRÉDIENTS SIMPLES POUR RENDRE VOS SALADES BIO ENCORE PLUS DÉLICIEUSES

Conseils, trucs et astuces : À l’occasion du Mois de la salade, nous partageons avec vous des astuces pour rehausser les saveurs de vos salades.

Nous savons que vous aimez les salades. Vous n’avez pas à nous le prouver. Mais nous savons aussi que beaucoup d’entre vous en mangeraient volontiers plus si c’était plus simple de les rendre ultra-délicieuses. Ne vous méprenez pas, nous aimons autant que n’importe qui une simple salade composée de laitue romaine, de tomates et de concombres biologiques. Mais en toute honnêteté, il faut travailler un peu plus fort pour que cette salade ait un goût exceptionnel. Si votre salade est préparée à partir de l’un de nos mélanges de jeunes pousses biologiques ou de nos mélanges sucrés et croquants biologiques, vous avez déjà plusieurs longueurs d’avance pour ce qui est du goût. Il ne vous reste qu’à ajouter quelques ingrédients, au choix, et votre vinaigrette maison incroyablement simple et vous obtenez une salade vraiment délectable. Voici des idées de garnitures qui ne demandent aucune préparation et de garnitures faciles à préparer.

  • Garnitures sans préparation
    • Des cœurs de chanvre décortiqués. Avec leur léger goût de noisette, ils constituent une garniture riche en protéines prête à utiliser.
    • De l’assaisonnement pour bagels, tout sauf le bagel. Composé de graines de sésame et de pavot, d’oignon, de sel, etc., cet assaisonnement agrémente n’importe quelle salade simple.
    • Des fruits séchés. Nous aimons le goût sucré et acidulé des cerises séchées.
    • Du fromage émietté. Le feta, le gorgonzola, le fromage bleu ou le fromage de chèvre émietté.
  • Garnitures faciles à préparer:
    • Du bacon confit. Vous pouvez, bien sûr, faire cuire et émietter votre bacon à l’avance pour l’avoir sous la main pour garnir vos salades, mais vous pouvez aussi faire un malheur avec du bacon confit décadent.
      • Comment faire? C’est tellement simple que nous n’allons même pas vous le dire. Regardez cette vidéo ultra courte et libérez vos pouvoirs porcins!

    • Des noix et des graines grillées. Nous adorons les fruits à coque et les graines — ils apportent du goût, de la texture et beaucoup de nutriments à votre salade quotidienne. Mais lorsque vous les faites griller, l’umami est propulsé dans la stratosphère.
      • Comment faire? Grillez les noix et graines une poignée à la fois et conservez-les dans un récipient hermétique pour pouvoir les ajouter à tout moment à votre salade (avec votre fromage salé et vos fruits secs). Regardez une autre courte vidéo ci-dessous pour savoir comment vous y prendre. Pour les noix de Grenoble entières, faire griller de 8 à 10 minutes, à 350 °F; pour les pacanes, 12 minutes, à 325 °F.

  • Caesar Salad with Crispy Chickpeas and Jammy Eggs Header ImageDes œufs mollets. Pour nous, l’œuf mollet est un ajout presque parfait à une salade de jeunes pousses, surtout avec une bonne vinaigrette. Et un peu de bacon confit ne peut jamais nuire. Cette combinaison constitue un excellent repas léger lorsque vous rentrez tard à la maison et que vous êtes fatigué.Comment faire? Faites cuire vos œufs à la vapeur (ou à l’eau bouillante) pendant 8 minutes, puis plongez-les dans un bain d’eau glacée pour les refroidir. Pelez les œufs et coupez-les en deux OU coupez les œufs en deux dans la coquille et récupérez l’œuf à l’intérieur. Nous préférons la méthode de cuisson avec un panier vapeur, car le blanc est un peu plus crémeux et la coquille est plus facile à peler.

L’AGRICULTURE BIOLOGIQUE COMBAT LE CHANGEMENT CLIMATIQUE

Si vous êtes comme la majorité de vos concitoyens, le changement climatique est un sujet qui vous préoccupe. Comme vous le savez peut-être, tous les produits biologiques délicieux, frais et sains que vous mettez dans votre panier (que ce soit en ligne ou en magasin) contribuent à lutter contre le changement climatique. Du moins… la terre dans laquelle ils ont été cultivés y contribue. En fait, tout repose sur les avantages que procure un sol robuste et sain. L’agriculture biologique a toujours été régénératrice : au fur et à mesure qu’ils sont cultivés biologiquement, les sols deviennent plus riches, plus sains et plus productifs. N’importe lequel de nos agriculteurs se fera un plaisir de vous le confirmer. Stan Pura, agriculteur d’Earthbound Farm, a illustré ce point en parlant de certains des ranchs que nous avons convertis à l’agriculture biologique à nos débuts :

 

« Le rendement de certaines exploitations était “quelque peu marginal” au début, mais aujourd’hui, il est bien meilleur parce que nous avons amélioré la santé des sols pendant deux décennies et demie. »

#IChooseOrganic for the Health of the SoilLe fait est que nous aimons manger, que nous avons besoin de manger. Or, l’agriculture est l’un des principaux facteurs qui contribuent au changement climatique, mais elle peut aussi aider à en atténuer la progression. En effet, l’agriculture biologique retarde le changement climatique en extrayant le carbone de l’air et en le restituant au sol. L’étude comparative Farming Systems Trial, menée par le Rodale Institute, la plus longue étude comparant l’agriculture conventionnelle et l’agriculture biologique, montre que « si seulement 10 000 exploitations agricoles de taille moyenne aux États-Unis se convertissaient à la production biologique, elles stockeraient tellement de carbone dans le sol que cela équivaudrait à retirer 1 174 400 voitures de la circulation, ou à réduire les kilomètres parcourus par les voitures de 23,5 milliards de kilomètres. » Autrement dit, les pratiques agricoles biologiques contribuent généralement à assainir les sols, ce qui entraîne une diminution du dioxyde de carbone dans l’atmosphère, ralentissant ainsi le changement climatique.

Comment cela est-il possible? C’est d’abord grâce à la photosynthèse, une notion dont vous avez peut-être entendu parler à l’école primaire ou secondaire. Les personnes et les animaux inspirent de l’oxygène et expirent du dioxyde de carbone. Les plantes absorbent le dioxyde de carbone, en transforment une partie en oxygène qui est relâché dans l’atmosphère. Or, le dioxyde de carbone qui n’est pas transformé en oxygène reste dans le tissu végétal. Lorsque les plantes meurent et se décomposent, le carbone emmagasiné pénètre dans le sol. C’est ce qu’on appelle la séquestration du carbone, un phénomène qui contribue à enrichir la « matière organique du sol » (MOS).

Les exploitations agricoles telles que les fermes hydroponiques ou aquaponiques, les serres d’intérieur et les systèmes d’agriculture verticale ne peuvent pas stocker de carbone dans leurs sols, tout simplement parce qu’elles n’en utilisent pas!

La photosynthèse et la séquestration du carbone se produiront, que l’exploitation soit certifiée biologique ou non. Toutefois, grâce aux pratiques d’agriculture et d’élevage biologiques, nous pouvons augmenter la vitesse et la durée de la séquestration du carbone, réduisant ainsi les émissions globales de dioxyde de carbone dans l’atmosphère.

Le but de l’agriculture biologique consiste à nourrir le sol et à en prendre soin pour éviter de l’épuiser. Toutes ces pratiques ajoutent au sol des nutriments bénéfiques et de la matière organique naturelle, créent un environnement propice pour les bactéries et les microbes utiles, et rendent le sol plus apte à stocker le carbone à long terme. Ainsi, lorsque vous choisissez l’agriculture biologique, vous soutenez un système agricole qui est positif pour la planète à bien des égards.

LES CULTURES DE COUVERTURE : LE COUTEAU SUISSE DE L’AGRICULTURE RÉGÉNÉRATRICE

Trucs d’agriculture un peu bizarre en perspective… poursuivez à vos risques et périls

On dit souvent que l’agriculture biologique est une agriculture « en harmonie avec la nature ». C’est vrai. Il est également vrai qu’une agriculture biologique véritablement régénératrice est bien plus que le simple fait d’éviter l’utilisation de produits chimiques agressifs et d’engrais de synthèse. Cette approche exige que nous cherchions activement à comprendre les cycles naturels et complexes des cultures, que nous leur prêtions une attention particulière et que nous nous engagions à les respecter. Mère Nature possède un doctorat dans tous ces domaines, et nous sommes ses élèves enthousiastes.

cover crop farm tourNous avons appris beaucoup depuis que nous nous sommes lancés dans l’agriculture biologique il y a 40 ans, et ce n’est pas terminé. Nous avons récemment accueilli une délégation d’une quarantaine d’agriculteurs désireux d’apprendre l’utilisation accrue de contrôles biologiques ou naturels dans leurs exploitations et de réduire leur usage des autres produits. Ces agriculteurs sont venus pour que nous puissions les guider à travers les essais sur le terrain de certaines pratiques régénératrices que nous avons mis en place, notamment les cultures de couverture. Nous sommes toujours heureux de faire part de nos connaissances et de ce que nous espérons apprendre.

Parlons d’abord de couvertures…

cover crops are part of regenerative organic farming… c’est-à-dire de cultures de couverture. On les appelle ainsi parce qu’elles couvrent la terre lorsque la culture vivrière n’est pas en cours. Ces cultures favorisent la santé des sols pendant leur croissance et profitent à l’ensemble de l’écosystème de diverses manières; elles continuent d’apporter des bienfaits lorsque les plants meurent et sont réintégrés aux sols.

Les cultures de couverture sont un peu comme le couteau suisse des pratiques régénératrices; elles ont énormément d’utilités :

  • Ajout d’éléments nutritifs au sol
  • Amélioration des propriétés physiques et biologiques du sol
  • Augmentation de la biodiversité
  • Agent de lutte contre les mauvaises herbes
  • Amélioration de la capacité du sol à retenir l’eau — ce qui réduit les besoins en irrigation
  • Rupture du cycle des ravageurs
  • Et plus encore…

Regardez cette vidéo géniale sur les cultures de couverture, puis lisez ce qui suit pour en savoir davantage sur les pratiques agricoles régénératrices.

 

regenerative farming cover crop

Cette culture de couverture est un mélange d’avoine et de légumineuses (pois, fèves et vesces).

Ce que les agriculteurs sont venus voir à la ferme, c’est le projet de recherche sur les cultures de couverture que nous avons mis en place. Attention : nous n’avons pas encore les résultats, mais nous les dévoilerons dès que nous les aurons. Dans le cadre de ce projet, nous mesurons et suivons l’impact de différents avantages régénérateurs des cultures de couverture. Avec nos essais de recherche, nous cherchons à intégrer ces composants sains du sol pour qu’ils travaillent efficacement pour nos légumes-feuilles, nos laitues pommées et nos légumes. Une grande partie du projet consiste à comprendre ce que des cultures de couverture en particulier peuvent accomplir au moment et à l’endroit précis où elles sont nécessaires. Cette recherche nous permettra d’établir un historique de la nutrition du sol propre à chaque ranch afin de pouvoir suivre et analyser les changements dans les principaux indicateurs de nutrition et de santé du sol.

Nos essais comprennent les éléments suivants :

  • Mesurer l’incidence directe de la culture de couverture sur la teneur en azote du sol. Pourquoi? L’azote est un élément nutritif essentiel pour les plantes. Les cultures de couverture sont souvent chargées de récupérer l’azote : elles recyclent ou ajoutent de l’azote au sol. Les cultures de couverture faites de légumineuses (pois et haricots) sont le plus souvent associées à la récupération de l’azote, car elles peuvent capter l’azote de l’air et le redonner aux bactéries bénéfiques du sol. Les bactéries le transforment ensuite en ammoniac, qui nourrit les plantes. D’autres cultures de couverture, comme les graminées et les crucifères, récupèrent également l’azote du sol et l’empêchent de s’infiltrer dans les eaux souterraines ou de s’écouler en surface vers nos ruisseaux et nos rivières. Lorsque les cultures de couverture meurent et sont réintégrées à la terre, elles libèrent l’azote dans le sol, où il peut nourrir la culture suivante.
  • Comprendre à quel moment précis les nutriments des cultures de couverture deviennent disponibles pour les cultures que nous récoltons. Nous surveillons de quelle façon les cultures de couverture libèrent leurs nutriments dans différents types de sol et diverses conditions de croissance. Nous cherchons également à savoir quelle combinaison de plantes de couverture convient le mieux à nos différents emplacements de culture. Par exemple, nous avons connu un hiver très sec dans notre région de culture en Californie. La sécheresse a des répercussions sur la croissance des cultures de couverture et l’économie.
  • Mesurer l’augmentation de la matière organique du sol et tous les avantages qui en découlent. La matière organique du sol est la substance même de la vie. Plus le sol contient de matière organique saine, plus il retient les nutriments et l’eau, ce qui favorise une meilleure structure du sol. L’écosystème de microorganismes bénéfiques du sol est également plus sain. Nous suivons le niveau de matière organique du sol ainsi que le carbone, les nutriments, la rétention d’eau, la biodiversité microbienne et la structure du sol.
  • Évaluer les cultures de couverture et la réduction du labourage. En agriculture régénératrice, nous labourons le sol moins souvent. Pourquoi? Pour protéger son intégrité. Nous voulons mettre tous les nutriments à la disposition des plantes en perturbant le sol le moins possible et en lui donnant ce dont il a besoin. Le fait de labourer moins souvent réduit aussi la consommation de carburant ainsi que le nombre d’heures de travail. Tous ces éléments entrent en ligne de compte pour mesurer la durabilité de nos exploitations.

Mère Nature tisse une toile de vie remarquablement sophistiquée et délicatement équilibrée. Les particularités des écosystèmes du sol et des pratiques agronomiques offrent constamment de nouvelles leçons. Nous avançons dans notre démarche et, quels que soient les enseignements que nous tirerons de ces essais complexes, les résultats seront extrêmement précieux pour nous, pour les sols de nos ranchs biologiques et pour les écosystèmes dans lesquels sont établies nos exploitations.

« MOI, JE PRÉFÈRE LE SUCRÉ », dit-elle

Nous espérons que vous pardonnerez l’introduction légèrement sinueuse de cet article… et que vous trouverez qu’elle en vaut la peine.

Il y a quelques années, nous avions l’habitude de participer à deux activités tenues par l’aquarium de la baie de Monterey : le Cooking for Solutions et le Sustainable Foods Institute. Chaque année, dans le cadre de ces activités, nous organisions un repas pour certains des plus grands chefs du pays (Carla Hall, Rick Bayliss, Dan Barber, etc.) et journalistes gastronomiques (Marion Nestle, Mark Bittman, Francis Lam, etc.) à notre kiosque de la vallée de la Carmel. C’était un événement fantastique et pas seulement en raison de la nourriture extraordinaire. Il permettait de réunir un groupe de personnes qui avaient toutes à cœur de trouver des solutions pour rendre nos pratiques de production alimentaire plus durables.

Une année, John Cleese (Monty Python, Fawlty Towers) était l’un des conférenciers invités. Non pas parce que nous étions un excellent sujet pour les monologues comiques, mais parce qu’il avait publié le documentaire Wine for the Confused, sur le Food Network. Il avait beaucoup à dire sur le vin et sa dégustation. L’un de ses conseils les plus importants était le suivant (prenez note, snobs du vin 😉).

« Dégustez simplement le vin. Si vous aimez le vin doux, buvez du vin doux. Si vous aimez le vin fruité, buvez du vin fruité. Ne laissez personne vous dire que ce n’est pas bon. Si vous préférez les fraises et que quelqu’un vous dit que vous devriez préférer les framboises, vous lui diriez d’aller se faire voir, n’est-ce pas? »

Alors lorsqu’une amie nous a dit, presque en s’excusant, qu’elle aimait le sucré dans sa salade, nous lui avons répondu : « Super, fais-toi plaisir! » Elle semblait s’attendre à ce qu’on lui dise qu’elle devrait préférer d’autres types de salades. Mais non, pas du tout! En fait, créer de bonnes salades, c’est combiner différentes saveurs et textures : sucré, acidulé, salé, épicé, légèrement terreux, umami, croquant, grumeleux, mou, moelleux. Il n’est pas nécessaire de toutes les utiliser. En choisissant quelques-unes de ces saveurs et textures pour créer vos salades, vous améliorerez certainement votre expérience.

Voici quelques-unes de nos combinaisons préférées qui rehaussent n’importe lequel de nos légumes verts biologiques prêts à l’emploi. En général, ces combinaisons se marient à merveille avec des vinaigrettes simples, mais n’hésitez pas à les essayer avec vos vinaigrettes préférées.

  • Cerises séchées, feta émietté, pacanes grillées en morceaux
  • Morceaux de pomme, de poire ou de pêche (selon la saison), gorgonzola émietté, noisettes grillées
  • Bacon émietté, fromage de chèvre émietté, morceaux d’amandes grillées
  • Parmesan râpé, œufs cuits mollets, pois chiches rôtis
  • Betteraves rôties, segments d’agrumes, fromage de chèvre
  • Pois au wasabi, carottes râpées, graines de sésame grillées ou arachides hachées
  • Morceaux de melon d’eau et feta émietté

Vous pouvez aussi utiliser cette liste et faire vos propres combinaisons pour des salades audacieuses et étonnantes.

Si vous souhaitez avoir des recettes, en voici quelques-unes qui pourraient allumer l’étincelle du créateur de salade en vous. Leurs extraordinaires et surprenantes combinaisons de saveurs et de textures sauront vous charmer à coup sûr.

CINQ FAITS AMUSANTS SUR LES JEUNES ÉPINARDS BIO

Pourquoi les jeunes épinards biologiques sont-ils les grandes vedettes des cuisines et des tables du monde entier? EBF Spinach Men's Health Mag Best Foods for Men Peut-être est-ce à cause des éléments nutritifs dont regorge chaque feuille ou de leur goût légèrement sucré et légèrement terreux, ou simplement parce qu’ils sont très tendres. Peut-être est-ce pour toutes ces raisons et d’autres encore.

Quelle que soit votre raison d’aimer ce légume-feuille, voici quelques faits amusants qui sauront impressionner vos amis et votre famille.

1 : Ces petites « feuilles » étroites dans vos épinards biologiques ne sont pas de l’herbe : ce sont des cotylédons. Les cotylédons sont les feuilles embryonnaires d’une plante, c’est-à-dire les premières feuilles à apparaître lors de la germination d’une graine. En fait, on ne les considère pas comme de vraies feuilles; ils sont présents dans la graine avant sa germination. Les cotylédons permettent d’assurer la photosynthèse de la plante. En général, ils tombent d’eux-mêmes avant le moment de la récolte. Par conséquent, si vous en voyez quelques-uns dans votre emballage d’épinards, c’est que nos agriculteurs ont probablement dû récolter les épinards un peu plus tôt que prévu, soit parce que Mère Nature leur a joué un mauvais tour avec des conditions météorologiques inattendues ou en raison d’autres conditions défavorables. Ces petites feuilles ne sont pas mauvaises pour la santé, il n’y a donc pas lieu de s’inquiéter si vous en trouvez. Mais vous aurez désormais de l’information privilégiée sur ce qui se passe à la ferme.

2 : Les jeunes épinards biologiques sont notre produit le plus populaire. Cela vous étonne? Il y a longtemps (peut-être 40 ans), lorsque les épinards n’étaient vendus qu’en bottes non lavées, en boîtes de conserve ou en emballages surgelés, la consommation d’épinards frais aux États-Unis était une fraction de ce qu’elle est aujourd’hui (voir n° 3). À l’époque, on consommait les épinards plutôt par bonne conscience que par réel plaisir. Mais les jeunes épinards biologiques prélavés sont si polyvalents et délicieux. C’est comme le parfait invité qui engage des conversations amusantes, mais intéressantes avec n’importe qui et met tout le monde à l’aise, sans jeter de la poudre aux yeux. Les épinards peuvent être la vedette nutritive de tout plat que vous aimez, et ils peuvent même être relayés au second plan si besoin est.

3 : En moyenne, les Américains consomment 680 grammes d’épinards frais par an. C’est du moins ce qu’affirme l’Agricultural Marketing Service de l’USDA (en hausse par rapport au niveau le plus bas de tous les temps, soit 131,5 g en 1975). Mais pour que cette moyenne ait un sens, sachant combien d’épinards biologiques vous consommez, nous devons croire qu’il y a beaucoup trop d’Américains qui ne mangent pas d’épinards du tout. C’est que nous savons que certains d’entre vous peuvent en consommer autant en une semaine ou moins. Nous devons cultiver des milliers d’hectares d’épinards pour répondre à votre appétit pour ce magnifique légume vert.

4 : Quand une société de production vidéo nous demande de tourner une vidéo dans un champ, il s’agit toujours d’un champ d’épinards. Bon, cette anecdote est un peu tirée par les cheveux, mais avouez que c’est amusant. Pourquoi les directeurs photo tiennent-ils tant à filmer des épinards? C’est qu’aucune autre culture n’offre une toile de fond aussi magnifique qu’un champ d’épinards d’un somptueux vert émeraude!

5 : L’épinard est un élément important de notre programme de rotation des cultures. Les diverses cultures prennent et produisent différents éléments au cours de leur croissance. Un cycle de rotation des cultures méticuleusement planifié fait partie du maintien de la santé vibrante de nos sols biologiques. Un sol qui devient plus sain et plus riche en matière organique au fur et à mesure qu’il est cultivé biologiquement est l’élément essentiel d’une agriculture biologique réussie. C’est la raison pour laquelle nous pratiquons l’agriculture biologique depuis 37 ans. Nous sommes passés d’une petite ferme de 2,5 acres à une exploitation de plus de 14 000 acres de cultures biologiques, et 550 acres additionnels sont en cours de transformation du conventionnel au biologique.

QUATRE HUILES À ESSAYER DANS VOS PROCHAINES SALADES

Les bienfaits des huiles

Les huiles sont faites de bons gras, qui vous aident à mieux absorber les nutriments de vos salades. De plus, elles peuvent être bénéfiques pour votre peau et vos cheveux, et aider à accroître votre niveau d’énergie et à réduire les inflammations.

Il faut toutefois les utiliser avec modération. Une petite quantité d’huile est très efficace. Versez l’huile de votre choix en filet sur vos légumes verts, un peu à la fois pour éviter qu’ils n’en soient saturés. Vous voulez leur donner juste un peu d’éclat, rien de plus.

1. Complétez votre salade avec de l’huile d’olive extra-vierge

Commençons par l’huile la plus basique dont tout le monde parle. Cette huile est délicieuse, bonne pour vous, polyvalente, offerte dans toutes les épiceries et vous l’avez probablement déjà dans votre cuisine. Quelle est-elle? L’huile d’olive extra-vierge.

Essayez cette technique infaillible pour un plat savoureux. Verser un filet d’huile d’olive extra-vierge (EVOO) bonne pour le cœur sur notre Mélange printanier biologique. Ajoutez un peu de sel et de poivre, un filet de jus de citron, une poignée de canneberges séchées et des croûtons : vous obtiendrez une salade dont vous pourrez être fier.

2. De l’huile de tournesol pour ravir vos papilles gustatives

Pour élargir votre éventail, essayez l’huile de tournesol comme base pour votre prochaine vinaigrette. L’huile de tournesol est une merveilleuse source de vitamine E, qui aide à renforcer votre système immunitaire. Elle fonctionne particulièrement bien avec une salade qui contient, devinez quoi? Des graines de tournesol! Le message à retenir est le suivant : essayez d’associer la saveur de votre huile aux ingrédients de votre salade. Si vous faites une mauvaise combinaison, la salade pourra avoir un goût amer. L’association de l’huile de tournesol et des graines de tournesol est un bon point de départ. N’est-ce pas simple?

3. De l’huile de noix au goût riche et noiseté

Essayez ensuite une huile de noix. L’huile de noix rôtie est tout simplement somptueuse. Nous l’adorons dans les vinaigrettes, dans lesquelles s’exprime tout son goût riche et noiseté.

4 Oils to Try on Your Next Organic Salad

L’huile de noix est idéale pour accompagner une salade consistante, par exemple une salade contenant des noix, des morceaux de pomme, du fromage bleu et du chou frisé. Nous recommandons une huile de qualité comme l’huile de noix grillée de La Tourangelle. Les huiles de qualité supérieure coûtent plus cher que les huiles ordinaires, mais leur saveur est divine. Et comme une seule bouteille suffit, le petit supplément à payer vaut le coup. Les huiles de noix sont légères et rafraîchissantes sur une simple salade de jeunes pousses. N’oubliez pas que vous pouvez marier votre huile de noix aux noix que vous avez utilisées dans votre salade.

Quatre huiles à essayer dans vos prochaines salades bio

Si vous aimez l’huile de noix de La Tourangelle, essayez d’autres huiles comme l’huile de pépins de raisin, l’huile d’avocat ou l’huile de noisette (voici une délicieuse recette de salade de noisettes, de kaki et de mozzarella préparée avec le Mélange rosé Earthbound Farm, qui est garnie d’une vinaigrette à base d’huile de noix La Tourangelle!)

Notre salade de roquette biologique et de betteraves rôties aux noix et au fromage feta est accompagnée d’une simple vinaigrette balsamique aux noix (voir la recette de la vinaigrette ci-dessous.)

Organic Arugula and Roasted Beet Salad with Walnuts and Feta Cheese

Salade de roquette biologique et de betteraves rôties aux noix et au fromage feta

Vinaigrette balsamique simple aux noix

Voici une simple recette de vinaigrette balsamique aux noix. (La qualité de l’huile et du vinaigre fait toute la différence.) Il s’agit d’une vinaigrette aux saveurs intenses qui constitue également un bon accompagnement pour les figues grillées.

180 ml (¾ de tasse) d’huile de noix rôtie

60 ml (¼ de tasse) de vinaigre balsamique de bonne qualité

10 ml (2 c. à thé) de moutarde de Dijon

Sel et poivre noir fraîchement moulu

Préparation : Mettre l’huile de noix, le vinaigre et la moutarde dans un pot en verre et fermer hermétiquement le couvercle. Secouez vigoureusement pour mélanger le tout. Saler et poivrer au goût. La vinaigrette peut être conservée au réfrigérateur jusqu’à 1 mois dans un contenant fermé. Laisser tempérer la vinaigrette à l’extérieur du réfrigérateur avant de l’utiliser.

4. Utilisez de l’huile de noix de coco dans votre salade pour un goût totalement nouveau

Êtes-vous prêt à expérimenter un peu? Pourquoi ne pas essayer l’huile de noix de coco? Si vous imaginez un corps gras blanc et ferme, sachez qu’il vous suffit d’en mettre un peu au four à micro-ondes pendant quelques secondes pour qu’elle fonde rapidement. L’effort en vaut vraiment la peine, car la saveur de l’huile de coco sur une salade est à tomber par terre. Et devinez ce que vous pouvez ajouter comme garniture? De la noix de coco râpée! Mariez-la avec des tranches de fruits tropicaux ou avec un poisson ou des fruits de mer au goût léger, comme du tilapia grillé ou des crevettes.

5. Et en prime, l’huile de sésame!

L’huile de sésame existe sous deux formes : nature et grillée. L’huile nature (ou pressée à froid) est fabriquée à partir de graines de sésame brutes et a très peu de couleur, d’arôme ou de saveur. Son goût neutre et son point de fumée élevé en font un bon choix pour les sautés. Elle se conserve jusqu’à 6 mois à température ambiante. L’huile de sésame grillé (ou rôti), quant à elle, est fabriquée à partir de graines grillées, une technique qui permet d’obtenir un parfum et une saveur riches. D’une couleur brun foncé, elle doit être conservée au réfrigérateur pour éviter qu’elle ne s’altère. Contrairement à l’huile de sésame ordinaire, elle ne doit pas être utilisée pour la cuisson, bien que l’on puisse en ajouter quelques cuillérées à thé à un sauté, une fois la poêle retirée du feu. On peut aussi utiliser l’huile de sésame grillé pour les vinaigrettes et les sauces froides.

Notre bol santé japonais préparé avec notre mélange de légumes-feuilles asiatiques et une vinaigrette rapide au miso est un excellent plat à essayer avec de l’huile de sésame.

Conservation et utilisation de l’huile

Vous êtes maintenant armé d’un arsenal de nouvelles huiles. N’oubliez pas que vous devez les conserver à l’abri du soleil et dans un endroit frais. Les huiles peuvent facilement rancir, c’est pourquoi vous ne devez acheter que des huiles présentées dans des bouteilles sombres ou des boîtes de conserve. Si vous avez une huile entamée depuis plus de 2 ou 3 mois, faites un test olfactif ou gustatif avant de l’utiliser. Si elle semble rance, jetez-la. Vous ne voulez pas tomber malade ou gâcher un plat avec une huile avariée.

Ces huiles ne sont que quelques-unes des nombreuses huiles que vous pouvez essayer dans vos prochaines salades. Faites-nous savoir ce que vous en pensez, ou dites-nous si vous avez d’autres huiles préférées ou des recettes de vinaigrette préférées.

NOS TACTIQUES POUR RÉDUIRE LE PLASTIQUE

Avez-vous remarqué quelque chose de nouveau à propos de certaines de nos barquettes de légumes verts biologiques de 454 grammes? Vous avez vu juste! Nous avons changé nos couvercles afin de réduire de 27 % la quantité de plastique de nos emballages.

Nos nouveaux contenants comportant la mention Emballage refermable offrent de nombreux avantages.

  • 27 % de plastique en moins: L’introduction de nos nouveaux couvercles permet de réduire de 27 % la quantité totale de plastique qui compose nos emballages (pas seulement le couvercle)! C’est de loin l’avantage le plus important que procure le passage de nos couvercles en plastique rigide à des couvercles souples. Nous sommes tous conscients qu’il est urgent de réduire notre dépendance au plastique. Vous êtes d’ailleurs nombreux à nous parler de ce sujet presque tous les jours, alors nous savons que c’est important pour vous. Depuis 2009, nous sommes à la recherche de solutions pour utiliser moins de plastique.
  • Le plastique est toutefois bien utile : il préserve la fraîcheur et empêche la contamination croisée; il protège les légumes délicats des meurtrissures et de l’écrasement; il permet aux consommateurs de bien voir ce qu’ils achètent. Nous poursuivons notre objectif d’éliminer progressivement le plastique et les choses changent à mesure que nous le faisons. Nous vous en dirons bientôt plus sur ce sujet. Restez à l’écoute!

Au-delà de la réduction du plastique, notre couvercle souple comporte d’autres points positifs :

  • Moins de plastique brisé. Si vous achetez nos laitues et nos légumes biologiques depuis un certain temps, vous savez que les couvercles en plastique rigide sont parfois si bien fixés à la barquette que lorsque vous les retirez (ce qui demande parfois un peu de force), le plastique peut se briser. Il faut parfois même récupérer les morceaux de plastique tombés parmi les légumes dans la barquette. Nous préférons que vous n’ayez pas à le faire. Il faut un bon dosage entre délicatesse et force brute.
  • Contenant plus facile à ouvrir. Comme nous l’avons mentionné ci-dessus, le joint de ces couvercles en plastique rigide peut être si serré qu’il faut souvent tirer très fort pour les enlever, déchirant parfois le couvercle ou la barquette. Le couvercle en plastique souple est beaucoup plus facile à ouvrir. Plus besoin d’utiliser la force, il suffit de décoller doucement la pellicule plastique.

Comment manipuler efficacement les emballages refermables

  • Regardez cette courte vidéo pour voir à quel point il est facile de manipuler le couvercle de nos emballages refermables.

Si vous ne voulez pas regarder notre vidéo, voici ce que vous devez savoir.

  1. Saisissez le coin jaune qui indique « Emballage refermable ». Décollez la pellicule doucement en tirant vers l’arrière. Votre mantra : la délicatesse est une bonne chose. Si vous ne faites pas attention, le couvercle pourrait se déchirer. Alors, allez-y délicatement.
  2. Ne retirez pas la pellicule jusqu’à la bordure supérieure de la barquette. Ce sera plus facile de la refermer en pressant le long des autres bords.
  3. Sortez la quantité de légumes dont vous avez besoin.
  4. Refermez la pellicule avec soin. N’oubliez pas votre mantra. 😊
  5. Passez vos doigts le long de tous les bords, là où la pellicule rencontre la barquette, pour assurer une bonne étanchéité.

Si vous ouvrez le couvercle et le refermez soigneusement, le joint devrait tenir suffisamment bien pour supporter une autre barquette de 454 grammes ou d’autres articles. Il sera plus solide si l’objet que vous voulez placer par-dessus repose sur les bords.

Nous savons qu’il faut du temps pour s’habituer à quelque chose de nouveau. Nous espérons que lorsque vous aurez utilisé notre nouvel emballage pendant un certain temps, vous l’aimerez autant que nous l’aimons.